Nous
re-voilà sur la route de Kativou. Cette fois-ci, nous sommes
accompagnés de Marie-Alice, une des sœurs de Clotilde. Après 2 ans
au Sénégal et 1 année aux Iles du Cap Vert, c’est une habituée
de l’Afrique.
A
Kativou, dans ce centre de santé situé au bout du monde, une
formation est donnée: « Accueil et relation soignant-soigné »
Étant médecin, Marie-Alice y fera des apports en s’attardant plus précisément sur la construction et les attentes des diverses relations humaines.
Étant médecin, Marie-Alice y fera des apports en s’attardant plus précisément sur la construction et les attentes des diverses relations humaines.
Seulement
voilà, la saison des pluies est passée. La route s’est
transformée. Ce sont maintenant des milliers de trous et de bosses
qui nous séparent de Kativou. Notre véhicule n’est plus tout
jeune et nous allons mettre 5 heures au lieu de 3, pour y
arriver.
Nous sommes lessivés. Mais comme d’habitude, nous sommes très bien accueillis à Kativou.
Nous sommes lessivés. Mais comme d’habitude, nous sommes très bien accueillis à Kativou.
l'installation photovoltaïque est presque terminée
L’installation photovoltaïque de ce centre de santé devrait être terminée et l’électricité ne devrait plus être un problème …
Sauf
que les batteries sont coincées à la douane. Eh oui, coincées !
Cela peut durer plusieurs jours, voire plusieurs…… En effet,
sortir du matériel du port de Lomé est un vrai parcours du
combattant, même pour des togolais débrouillards !
Nous avons donc dans nos valises un groupe électrogène de dépannage pour que les formations puissent avoir lieu.
Nous avons donc dans nos valises un groupe électrogène de dépannage pour que les formations puissent avoir lieu.
Deux frangines en admiration devant un champs d'arachide
Durant
ces trois jours dans la région du Moyen Mono, le moment fort à été
lorsque nous nous sommes éclipsés durant la pause de midi, pour
rejoindre à pieds un village que nous avons déjà visité.
Cette fois-ci, nous avons rendez-vous avec le féticheur du village, pour lui dire bonjour.
C’est toujours impressionnant de voir ces différences de culture. Nous reconnaissons tout de suite sa jeune femme et son large sourire.
Rapidement, un banc est mis à notre disposition. Après quelques échanges, voilà que par plus de 30 degrés de température une bouteille de rhum arrive !
Aï, aï, aï….il faut boire se grand verre « cul sec » pour ne pas faire affront à cette hospitalité.
Je pensais pouvoir compter sur les deux frangines pour m’aider mais non…..il a fallu se débrouiller tout seul ;-)
Cette fois-ci, nous avons rendez-vous avec le féticheur du village, pour lui dire bonjour.
C’est toujours impressionnant de voir ces différences de culture. Nous reconnaissons tout de suite sa jeune femme et son large sourire.
Rapidement, un banc est mis à notre disposition. Après quelques échanges, voilà que par plus de 30 degrés de température une bouteille de rhum arrive !
Aï, aï, aï….il faut boire se grand verre « cul sec » pour ne pas faire affront à cette hospitalité.
Je pensais pouvoir compter sur les deux frangines pour m’aider mais non…..il a fallu se débrouiller tout seul ;-)
Pour
radio Togo
Hic...Tonio
Hic...Tonio
Sûr que ça t'a plu de te saouler au Rhum, espèce d'ivrogne 😁😁😁
RépondreSupprimerSuper
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